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Qui jsui tu le c pa Ceux qui me connaissent le savent ..

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solandu93

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Bon bah, voila vous allez très vite découvrir quel genre de meuf je suis, alors bonne visite à tous!!!!!! Normalmt jsui pa tro méchante enf1 ça ça dépen avc ki bien sur !

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LA VIE

La Vie

Oh quelle horreur ! « Perdu jeudi 8 décembre, 2 heures du matin, Rue des Amoureux, carnet bleu de petit format, fermé par un cadenas argenté. Très forte récompense promise. Mlle. ELANON Solange. 4 rue des Lilas. Paris ».
J'ai mis mon annonce ce matin, un peu partout dans la ville, elle était placardée sur les différents poteaux EDF, les boulangeries, les bars tabac ainsi qu'aux alentours des écoles.
Ce petit carnet dans lequel étaient écrits mes notes, mes impressions du moment, mes découvertes, mes sentiments, ma vie quoi ! C'était un bout de ma vie qui se retrouvait ainsi perdu sur un quai.
Pourquoi là, ne l'avais-je pas rangé dans ma poche intérieure, lui qui m'est si précieux, lui à qui je raconte tout, lui qui connaît tous mes secrets...? Au lieu de ça, je l'ai mis bêtement dans ma poche de manteau et il a dû glisser je ne sais comment et tomber sur le sol. Ce sol mouillé que la neige blanche recouvrait, maintenant il est perdu. Comment vais-je le retrouver ?
Je l'avais pourtant bien protégé de tous les regards, par ce cadenas, personne n'avait le droit d'y toucher, ne serait-ce que le voir de l'extérieur et maintenant je voudrais qu'il tombe entre de bonnes mains qui ne lui feraient pas de mal, quelqu'un qui ne se poserait même pas la question de savoir ce qu'il y a dedans. Ce que je veux moi, c'est qu'il revienne, car s'il ne revenait pas dieu seul sait ce que je serai capable de faire et pire même si quelqu'un a mis la main dessus et l'a découvert, me l'a volé, lui le timide, celui à qui on peut toujours tout confier car l'on sait qu'il ne nous trahira pas, il se taira et ne se révèlera point.
Tel est le pacte que tous les deux nous avons passé, moi je parle et lui écoute, moi je note et lui me supporte.
Cela fait maintenant plus de deux mois que j'attends des nouvelles, je connais un dicton qui dit : « Pas de nouvelles, Bonnes nouvelles !!! », mais ce proverbe s'applique t-il dans mon cas ? Je commence à perdre confiance, je me demande si ce n'est pas trop tard, si personne ne l'a trouvé, la nature me l'enlèvera à jamais, elle me le détruira.
Mais avec qui partagerai-je mes secrets ? S'il n'est plus là que devrai-je faire ?
Dois-je le remplacer ? Non sûrement pas, nos moments à nous où je lui parlais et racontais tout ne sont pas remplaçables, il n'en est pas question ! Alors je vais attendre.
J'avais rendez-vous ce soir là, à 21h30. Nathan m'avait donné rendez-vous près de « Chez Cosette », un restaurant branché et plutôt chic, pas très loin de la rivière.
Je ne sais pas pourquoi j'ai acceptée, après tout cela ne faisait que trois ou quatre mois que tous les deux nous nous connaissions. Lui, était l'un de mes « Grands Patrons » car j'était interne dans la même clinique où il travaillait et c'est d'ailleurs. Lui le seul à faire en sorte que je puisse sortir vivante de ce milieu si difficile, celui des hôpitaux.
Il était très ponctuel et gentil, c'est plutôt rares d'observer chez les hommes ces deux qualité en même temps.
Etant ponctuel, il arriva plus tôt que moi avec près d'une demie heure d'avance, à croire qu'il voulait absolument faire bonne impression auprès de moi.
Lorsque j'arrivai enfin, il me salua tout en restant très respectueux. Il m'ouvrit la porte du restaurant et j'entrai en première, tout était près, tout était prévu pour passer une excellente soirée. Il me débarrassa de mon manteau, me tira la chaise pour pouvoir m'asseoir, à table il resta calme sans faire aucune maladresse. Nous ne voulions pas discuter du boulot, alors il me parlait de son enfance et moi de la mienne, même si nous n'allions pas trop dans les détails. Une chose me marqua, il était beaucoup trop gentil, cela me semblait anormale, je me demandait se qu'il voulait vraiment de moi. Je pensais alors que cela était peut être du au faite que je pratique le même métier que lui, il cherchait sans doute une femme qui puissent le comprendre car il est vrai, que cela n'est pas vraiment simple à gérer, les horaires et les pressions empêche souvent un couple –qui ne sont pas tout deux médecins– d'être heureux.
Après le dîner, il me proposa d'aller faire un tour le long de la rivière, la « rue des amoureux » comme on avait usage de l'appeler. On pouvait y observer des amoureux se tenant la main et marchant doucement.
Il était alors vingt-trois heures trente, et nous arrivions à la rivière. Je gardais un ½il à ma montre, je savais qu'il voulait aller plus loin mais... J'avais de mon côté prévu un petit discours qui avait été réfléchi avec tant de rapidité, en l'espace de dix minutes environ, j'avais l'habitude au collège, lors des conseils de classes de prendre la parole et inventer un petit discours pour défendre quelques uns de mes camarades qui étaient défendables et parfois victimes d'injustices. Cependant, là je ne savais pas comment lui dire que se n'est pas possible, je ne voulais pas le faire souffrir, je voulais juste comme le dit l'expression « mettre les points sur les i ». D'ailleurs sans que nous le sachions, en réalité les hommes sont capables autant que les femmes de souffrir, seulement ils le cachent et se protègent du mieux qu'ils peuvent, souvent en montrant une image forte et dominante.
Alors comment faire, fuir serait peut être une solution, mais je ne voulais pas le laisser là comme ça, il fallait que je lui parle.
Je réfléchissais et il le remarqua, très simplement il me demanda :
- Heu, est-ce que, ça va ?
- EH bien, oui, pourquoi ?
- Tu à l'air fatiguée.
- Non, non ça va ne t'inquiète pas.
Je commençais à stresser légèrement.
On marchait nous aussi doucement mais sans se tenir la main, je sentais qu'il essayait de me dire quelque chose, je ne voulais pas qu'il parle, que cette conversation commence.
Seulement elle le devait et elle commença lorsque je m'y attendais le moins. Je m'arrêta et regardais alors au loin, l'horizon, le reflet des étoiles et surtout celui de la lune déformée par les ondulations des vagues et qui brillait entièrement cette nuit, sur la rivière, c'était absolument magnifique, j'aurais pu rester là des heures tant le vue inspirais au réconfort, au calme et à la douceur. J'avais presque oubliée la pression qui montait.
Il s'arrêta à son tour. On resta comme cela, longtemps, debout l'un devant l'autre. Je lui dis :
- Heu... tu voudrait peut –être me dire...
- ...Oui, je voudrais te dire.
- Attends, je veux d'abord te demander une chose à laquelle tu dois absolument répondre.
- Très bien seulement, ce que j'ai à te dire est loin d'être simple et il va me falloir du courage et de la compréhension de ta part pour commencer à énoncer ce que j'ai à dire.
- Ecoute, Nathan, je ne suis pas plus avancer que toi et comme tu a du le remarquer, je sais être compréhensive, même dans les cas les plus délicats et, être à l'écoute est, je l'espère une des qualités que tu préfère en moi.
- Oui, c'est vrai.
- Tu vois finalement, je te connais plutôt bien.
- Je pense plutôt que tu a, tu sais, cette capacité de voir les choses sans qu'on se les disent, tu observe et puis tu sais, tu sais qui on est, l'image que l'on veut montrer de soi, nos centres d'intérêt, ou encore ce à quoi l'on pense...
- Eh bien je vois que tu me connais plutôt bien mais tu sais, je ne sais pas faire tout cela.
Je me posais de plus en plus de questions, il était tellement gentil que je ne savait pas quoi lui dire, je ne devais pas boire ses paroles, je devait rester sur mes gardes car un surplus d'admiration pourrais sans doutes me nuire.
Lui, je sentais qu'il était nerveux, je me disait qu'heureusement, il n'était pas aussi nerveux lors de ces opérations à la clinique, sinon bonjour les dégâts !
Il reprit la conversation.
-Bon, je vais essayer de faire simple tout en restant le plus sincère possible.
-Tu sais que naturellement, même dans une situation qui me concerne, j'analyse aussi.
-Oui je le sais, mais pourrais- tu m'accorder une sorte de faveur.
-Oui, mais cela dépend aussi du type de faveur en l'occurrence, si j'ai les moyens de t'aider, oui je veux bien.
Je fut surprise que sa faveur soit une invitation chez lui en plus ce soir même.
Il était alors presque une heure du matin mais la rue était encore pleine de gens.
Puis soudain, une femme se mit à crier, je ne comprenais rien, je me demandais où elle était mais je ne là voyais pas, Je l'entendais, mais rien, personne, Nathan aussi l'entendait, on là cherchait du regard, puis d'un coup, un homme, d'environ une vingtaines d'années surgit de nulle part, de derrière nous, il courait à vive allure, il était habillé en noir, il semblait fuir alors Nathan et moi nous nous dirigions vers l'endroit d'où nous avait semblé venir le fuyard.
Il y avait un grand arbre, qui m'avait marqué, il était spécial, de loin on aurait dit que c'était une personne, il était vieux et c'est ce qui faisait son originalité. Il me faisait penser à celui de chez mes grands-parents, la maison d'enfance de mon père. Il était comme ridé, son écorce avait de profonde ligne qui pour certaines, se rejoignaient, quand d'autres se séparaient. On se rapprocha de l'arbre, on pouvait alors remarquer les gravures des dits « amoureux de la rivière » qui ainsi écrivaient leurs initiales entourées par une forme, un c½ur, symbole de l'amour. J'en comptais vingt-six, tous de formes différentes, on lisait aussi des Z+S=A ou des M+M=A ou encore des S+M=A.
Mais Nathan me rappela à la réalité et on se mit à courir tous les deux au pas de course.
Les pleurs de la femme semblaient de plus en plus forts, on se rapprochait d'elle.
Nathan, enfin, l'aperçu, elle était là par terre assise, à même le sol, elle pleurait.
Je me suis approchée d'elle, elle avait un visage effrayant, presque irritant, elle semblait désemparée, comme si l'on venait de lui arracher le c½ur ou je ne sais quoi d'autre. Je lui demandais :
-Madame, est-ce que je peux vous aider ?
Elle pleurait et j'ai eu beaucoup de mal à comprendre ce qu'elle avait comme elle n'articulait pas vraiment ses mots. Je réussi à comprendre avec beaucoup de patience qu'elle avait été victime d'une agression plutôt banale lorsqu'on les entend au journal télé, mais lorsque l'on se retrouve en plein milieu d'un cas comme celui-ci, on est très vite désarmée et on perd presque la totalité de notre pensée. Nathan était dans un état encore plus choqué que moi et il admirait un peu mon sang froid face à une situation de viol. Pour la première fois de ma vie, après mes différentes patientes victimes de viols à la clinique, qui me racontaient leurs mésaventures et avec qui je trouvais les mots exacts pour les réconforter. Ici je ne savais pas quoi dire à cette femme alors que j'étais là, la première personne qu'elle avait trouvée sur son chemin. Je ne pouvais rien dire car lui dire que je là comprenais, je ne pouvais pas là comprendre.
Tous ce que je pu lui dire fus :
-Comment vous appelez-vous ?
-Emeraude...
-Bon très bien Emeraude, je suis médecin alors est-ce que vous voulez bien aller avec moi.
-Euh...c'est...que...je...je...peux pas.
-Mais pourquoi ça, écoutez Emeraude, je n'ai jamais été violée c'est vrai mais je pense que vous vous dites sans doute que cela est de votre faute, je tiens à vous dire que cela est faux, strictement faux. Vous ne pouvez pas vous rendre responsable des pactes malsains de quiconque et quelle que soit l'acte. L'agression dont vous venez d'être victime et je dis bien victime, arrive malheureusement à un nombre incroyablement élevé de femmes. Mais elles y survivent avec c'est vrai une souffrance telles que certaines pense au suicide, mais je tiens à vous dire que ces femmes là, si elle pense à la mort et qu'elle se disent que mourir vaut bien mieux sont en général celles rejetées par la société et qui n'ont personnes vers qui se tourner, qui se confier, une personne qui ne prendra pas de jugement sur elles. Ce que j'essaye de vous dire, c'est que vous, vous avez cette chance de ne pas vous retrouver seule car ce que je vous propose ici c'est de vous soutenir de mon mieux ainsi que de rester à vos cotés tout au long de cette douloureuse partie de votre vie. Je sais à qu'elle point cela est dur sans compter le faite de la douleur physique dont vous souffrez peut-être.
-Oui, c'est vrai... Merci madame.
-Mademoiselle, mais ce n'est pas grave.
-Mademoiselle... Je voudrais savoir une chose ?
-Bien entendu !
-Eh bien, pourquoi ?
-Pourquoi ??
-Oui, Pourquoi êtes vous là, alors que vous pourriez être avec votre petit ami...
-Alors je suis désolé mais ce n'est pas mon petit ami et puis si je suis là, c'est sans doute du au faite que j'ai quasiment toujours été à l'écoute, et essayée d'aider au mieux les gens qui voulaient bien me parler de leurs problèmes, c'est aussi la raison du choix de mon métier qui pourtant est dur même émotionnellement parlant.
D'ailleurs, je vous encourage à me suivre à le clinique, pour faire quelques examens au cas ou l'homme qui vous a fait subir ces atrocités ait une maladie ou une infection sexuellement transmissible, mais ne vous inquiété pas en règle générale, ces maladies peuvent être neutralisées si le traitement est rapide c'est-à-dire d'environ un jour et deux heures à partir du sévisse sexuelle.
Je la regardais, elle s'était calmée, Nathan lui était absent, tous cela devait être trop pour lui. J'ai en plus remarqué le regard vide qu'il avait lorsque j'ai dis qu'il n'était pas mon petit ami, je ne sais pas vraiment comment faire avec ces deux situations totalement différentes, alors je me dis qu'il faut que je gère la plus urgente, seulement ces deux personnes ont besoin de la même personne, moi.
Alors je me dis que je dois écouter la voix du c½ur, celle de mon instinct ou celle de la raison et les trois me poussent vers la situation d'Emeraude. Je vais alors voir Nathan pour lui expliquer qu'il va devoir aller chercher sa voiture pour que moi je puisse rester avec Emeraude, il n'était pas très rassurer car l'idée de laisser deux jeunes femmes dont celle qu'il aimait en pleins sur une scène de crime, à deux heures du matin, près d'une rivière. Mais j'ai vite sus le convaincre et le rassurer en lui disant que le coin n'était pas trop fréquenté donc qu'Emeraude et moi-même nous nous déplacions vers un endroit plus fréquenté et plus éclairé.
Il accepta.
Emeraude aussi, accepta non seulement de se déplacer, mais aussi de m'accompagner.
Nathan parti et Emeraude me remercia. Qui aurait cru que cette magnifique soirée d'hiver où la neige recouvrait les trottoirs et qui donc nous offrait un magnifique paysage blanc qui aurait du être synonyme de bonheur et de pureté à fini par tourner au drame ?
Pendant près d'une heure, Emeraude me racontait comment cela c'était passé, elle se promenait sur la rue quant un homme vint derrière elle et la menaça, elle devait le suivre discrètement, sans crier, dans le coin sombre où nous l'avions trouvé. Alors, elle le suivit pour ne pas mourir, il avait en sa possession un couteau. Arrivé sur les lieux, elle se mit à hurler dès qu'il commençait à la toucher après avoir fait se qui l'intéressait et avoir fini, l'homme prit la fuite et c'est à ce moment là qu'on le vit.
Emeraude était dans un état qui me touchait beaucoup, de nature empathique, lorsqu'elle me racontait ce qu'il se passait, j'avais des frissons et un vent froid passait dans le dos, je regardait partout et je surveillais toujours autant voir plus maintenant mes arrières. J'avais l'impression d'avoir vécu cette souffrance.
Nathan revient alors avec sa voiture, il nous ouvre les portes et Emeraude et moi montons à l'arrière.
Dans la voiture, le silence régnait, Emeraude avait cessée de pleurer, elle avait comprit que dès lors elle serait entres de bonnes mains. Nathan ne me parlait pas, pas un mot dans la voiture. Je demandais alors à Emeraude si elle avait vu son visage. Elle me répondit avec un haussement de la tête pour dire oui. Je lui posait alors la question cruciale, voulait-elle porter plainte.
Elle fit le même mouvement de la tête alors dans la voiture, on appela la police pour les prévenir qu'il y avait un violeur dans le coin et on leur donna son signalement.
Arrivés à la clinique on lui fit faire tout les examen, frottis, prise de sang, test urinaire, consultation totale et bilan de santé. On devait attendre les résultats mais pour les tests dont on avait directement les réponses, elle n'avait rien.
Après notre petit séjour à la clinique on décida de la garder en observation pour qu'elle puissent reprendre des forces mais le lendemain matin je lui rendu visite, Nathan qui était en service entra dans la salle. Il me lâcha un « bonjour », je lui en répondis de même, après notre soirée, hier soir, il m'avait raccompagné chez moi puis il alla faire sa garde.
On se regardait, il semblait être déçu de voir que notre soirée était terminée.
C'est ainsi que, je m'aperçu lorsque j'étais sur le point de me coucher, que mon carnet avait disparut, mon carnet bleu, ce magnifique objet, mon confident alors avant de venir voir Emeraude je suis passée un peu partout pour mettre mon annonce. Je ne peux pas vivre sans lui. Je pense que c'est le seul qui le veut rien, à qui on donne, qui reçoit et qui ne veut rien pour lui véritablement.
Nathan avait compris que se n'était pas possible et il tenait alors à ce que l'on reste ami.
Emeraude sorti de la clinique, reposer et sans aucune maladie alors nous sommes allez au commissariat faire le portrait-robot de son agresseur et coup de chance, il était fiché et a donc été arrêté, il purge maintenant sa peine et Emeraude rencontra un homme bien avec qui elle se maria, d'ailleurs comme promis nous sommes encore en contact.
Moi, j'avais fini mes études et je continuais à travailler dans la même clinique, j'ai aussi retrouvée mon cher carnet, retrouvé par un jeune couple tombé sur l'une de mes annonces.
Tout est bien qui finit bien sauf peut-être pour Nathan qui du coup se retrouve toujours seul et qui finalement je le sais bien, espère toujours car pour lui, il n'y a pas d'amour sans espoir et il a sans doute raison...
Solan
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#Posté le mardi 29 janvier 2008 14:16

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Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.123.20) si quelqu'un porte plainte.

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tounsiidu75, Posté le mercredi 15 avril 2009 14:51

cc sava tounsiaaaaaaa..pass tn msn stp
bisou


yasso222, Posté le lundi 01 décembre 2008 17:46

vive l ai de la 214!!!!!!! lol


mohamed, Posté le dimanche 13 juillet 2008 15:21

mé aten jé laissé 1 com on moin di moi que sé vré parce que la je comence a croire que je pète lé plomb apré si sé vré merci de lavoir refusé


mohamed, Posté le samedi 12 juillet 2008 15:33

cc ta vu jé rouvé ton blog lol mé putin arété de metre dé texte lé blogs sont fépour lé tofs mdr vs faite 1 mauvaise utilisation dé blog laisse tombé nn je rigole bisou bonne vac


jp, Posté le mercredi 11 juin 2008 18:01

waouuu c lonnng et c bien bravo :)


kcinnay93380, Posté le lundi 11 février 2008 14:34

ta tro la péche de ouff toi


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